Jean Corentin Carré

Le 18 mars 1918 , Jean Corentin Carré meurt à Verdun à l’âge de 18 ans. Son nom est célèbre car il fut le plus jeune poilu.Il tricha sur son âge pour entrer dans l’armée car il avait la volonté de s’engager pour suivre les traces de son père.Il prit donc une fausse identité pour intégrer le régiment d’infanterie.Très vite,il est nommé sergent mais est rétrogradé au rang de simple soldat suite à son aveu sur son âge.Jean Corentin Carré devint,en 1918,pilote et son avion fut touché lors d’une bataille à Verdun.Il succombera à ses blessures à l’hôpital.Le jeune homme fut nommé adjudant à titre posthume.

2ème Mission du centenaire: Sur les traces de notre passé

  • image3monumentMission : découvrir les traces de la Grande Guerre dans l’étude du monument aux morts de son village, de sa ville.
  • Consignes de la mission :
    • observer le monument aux morts de votre commune.
      • faire l’inventaire de tous les éléments qui le composent.
      • comprendre la signification de certaines inscriptions gravées ou sculptures.

 

  • But de cette mission rédiger la carte d’identité du monument aux morts en renseignant les points suivants :
    • date de la construction
    • implantation dans la commune
    • forme
    • éléments caractéristiques
    • symboles utilisés
    • illustration : croquis, dessin(s) ou photo(s)

La bataille de Verdun

Cette bataille fut surnommée l’Enfer de Verdun.

Elle commence le 21 février 1916 sur la rive droite de la Meuse au nord de Verdun.

Le chef d’état Major allemand Falkenhayn déclenche le Trommelfeuer. Un million d’obus tombe sur la tête des poilus sur un front de sept kilomètres.

Les poilus reculent en laissant derrière eux leurs canons. Les tranchées sont détruites.

Deuxième offensive allemande sur la rive gauche en mars, avril et mai 1916. Les poilus résistent mieux, des renforts sont arrivés.

Troisième grande offensive allemande sur la rive droite de juin à juillet. Le général allemand Falkenhayn veut en finir avec cette bataille, d’autant plus que la bataille de la Somme a commencé.

Les allemands vont lancer des bombes avec du gaz phosgène. Mais les poilus résistent. Les allemands lancent une offensive sur les deux rives mais les poilus tiennent bon.

Quatrième et dernière offensive allemande le 11 juillet, les allemands ne sont plus qu’à quatre kilomètres de Verdun. Les poilus reprennent du terrain grâce à l’aide d’alliés. Les français sortent victorieux malgré de très nombreuses victimes.

Cérémonie du 11 novembre à Bousies

 

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Les élèves des écoles de Bousies se sont rassemblés en cette belle matinée de novembre pour rendre hommages aux soldats disparus. La lecture des noms des victimes par les élèves de CM2 suivie d’une vibrante Marseillaise a rappelé à l’auditoire le sacrifice de ces jeunes Français. En musique, le défilé s’est poursuivi dans les rues du village.

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La Bataille de La Somme

La Bataille de la Somme s’est déroulée du 1er juillet 1916 au 18 novembre 1916.

Cette bataille a été très meurtrière. Encore aujourd’hui, on peut observer les trous laissés par les obus ainsi que de nombreux cimetières. Les forces britanniques et françaises avaient voulu percer les lignes allemandes.

Le 5 octobre 1914: Baptême de l’ air

Joseph Frantz, le pilote et Louis Quénault , le mécanicien sont au
commandement de l’avion VOISIN 3.Equipé d’une mitrailleuse, les
Français tirent sur l’AVIATIK , avion allemand . Après 46 tirs , les
Allemands sont touchés et s’écroulent. C’était la première bataille aérienne de l’histoire! Les Français reçoivent une médaille.A partir de ce moment, les avions seront davantage utilisés.

Partenariat avec les archives départementales du Nord

 

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Dans le cadre des activités de l’Atelier Défense du collège Jean Lemaire de Belges, celui-ci a organisé, en partenariat avec les Archives départementales du Nord, une journée de travail sur les Monuments aux Morts. Le mardi 12 novembre 2013, au lendemain de la commémoration de l’armistice, les élèves ont pu « redécouvrir » le Monument aux Morts de la commune de BAVAY. Cette activité s’est déroulée de la manière suivante :

– Le matin, l’atelier s’est déplacé à pied jusqu’au monument aux morts de Bavay pour en dresser sa carte d’identité : descriptif, symboles, conditions de la construction. image1

– L’après midi, l’activité s’est poursuivie en salle informatique avec des recherches sur différents sites internet. Au programme : lecture de  matricules militaires, de cahiers de marches et d’opérations, découverte des conditions de disparition des soldats. Une fois assurés de la maîtrise des différents sites, les encadrants ont laissé les élèves partir à la recherche de leurs aïeux, moment d’émotion assuré.

Aventure à suivre…

L’atelier Défense du collège Jean Lemaire de Belges de BAVAY